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ÉCOLE DE DANSE BAYONNE & ANGLET

Street Art est une association de danse spécialisée dans les danses urbaines. Elle a été créée en 2009 à l'initiative du chorégraphe Tony Le Guilly afin qu'il puisse exercer son métier de danseur, de professeur et de chorégraphe de danse Hip Hop.

REPRISE DES COURS À PARTIR DU 9 SEPTEMBRE COURS D'ESSAI OFFERT

initiation

Faire découvrir, initier et pratiquer au plus grand nombre et à différents niveaux, les différents styles de danses Hip Hop.

tout public

Proposer des activités physiques et artistiques proposés à tout public (enfants, adolescents, adultes) dans l'esprit de danse culture, loisirs pour tous.

événement

Créer et vendre des spectacles vivants.Créer des événements autour de la culture Hip Hop (battles, rencontre chorégraphiques...)

 
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Street Art Studio

Street Art Studio

ÉCOLE DE DANSE HIP HOP, BREAK DANCE, HEELS DANCE, K-POP, DANCEHALL, STREET JAZZ.

ORGANISATION D'ÉVÈN

1 day ago

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En place pour @akirazrc ! Merci pour l’invitation ⭐️ ... See MoreSee Less
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2 weeks ago

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Pour se dire référence en danses urbaines, il faudrait déjà être reconnu par ses pairs…Le secret c’est de ne pas peter plus haut que son cul 😜 et surtout ne pas se prendre au sérieux 🤡 ... See MoreSee Less
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3 weeks ago

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Texte de Yves Ugalde (MERCI) Parmi les propositions dansées du festival Paseo de Bayonne -festival gratuit, je le rappelle- je retiens la pièce "Clownesque" de la compagnie de hip hop de Tony Le Guilly qui mène la barque très active du breakdance à bayonne et à Anglet. Il le fait sous la houlette, je devrais dire "la casquette", de l'association Street Art Studio. J'assistais à sa nouvelle création hier soir sur la place de la liberté.Pour les soirs de première, j'aime me poster derrière la scène, tout près de la table de mixage. Privilège jubilatoire de l'élu à la culture que je suis pour un an encore. L'envers du décor m'a toujours fasciné. Comprendre comment ça marche et lire de suite la sanction par le rire, la mélancolie, la peur, l'enthousiasme, sur le visage des spectateurs d'un soir et d'une séquence, puisqu'il y en a plusieurs jusqu'à 20 heures. Je m'empresse de préciser l'heure pour que les allergiques au son amplifié, tout relatif celui-là, ne s'emballent pas de suite.La chorégraphie de Tony se nourrit cette fois de la tradition des clowns de cirque. Ceux de Fellini, les vrais. Ceux des cirques de tradition, les vrais. Loin des théâtreux qui usurpent le costume d'Auguste pour lui donner une dimension philosophique à deux balles dans des théâtres chauffés, et subventionnés de préférence. Les clowns de De Guilly sont les premiers, les seuls. Des Paillasse qui ratent tout ce qu'ils entreprennent avec une précision corporelle qui trahit des semaines de mise en place. A ce stade, tous les ratés sont d'authentiques réussites.Au milieu de ces pitres, une jeune fille de 12 ans. Elle répond au prénom de Keziah. Si ça, c'est pas déjà un nom d'artiste ! Une graine de grande circassienne, celle-là, je vous jure. Un physique à la Fifi Brindacier et une élasticité de corps stupéfiante. Qu'on se comprenne bien, pas dans le genre contorsionniste, non, ce serait plutôt une fillette "élastique". Sa performance est stupéfiante. Ses partenaires, tous plus âgés, voire adultes, la balancent dans tous les sens, la roulent au sol, la relèvent, la propulsent, sans que jamais elle subisse le mouvement. Une petite balle de caoutchouc à la précision de geste étonnante. Bien sûr soutenue par un niveau millimétré de parades cachées par des positions de réception ou d'envoi qui veulent bien sûr dire tout le contraire au public. Pour faire rire quoi ! Depuis l'arrière du podium, la lecture du visage de Keziah m'a subjugué. Lors des deux ou trois temps de récupération, quelques secondes à peine, roulée en boule ou explosée au sol, sa tête est systématiquement orientée vers le fond où je me trouvais. L'élégance est là: pas d'effort lisible surtout. Ce n'est pas du sport, la danse ou le cirque. On finirait par l'oublier, mais la toute jeune artiste qui n'a pas plus de ressorts en elle que vous et moi, a besoin de respirer, de respirer à fond. La technique est déjà très sûre et sans ostentation aucune. Ne pas marquer l'effort, privilégier l'effet et seulement l'effet artistique de la fillette "élastique"...Couchée après une énième pirouette, dans une fraction de seconde, elle fait le point, prend les informations spatiales nécessaires à l'enchaînement suivant. Ca se voit à ses petits yeux qui cessent d'être rieurs. La poupée de chiffon est en vérité un petit être surdoué et dans des dispositions physiques et intellectuelles hors du commun. Les grands clowns sont comme ça, depuis Grocq, mon idole de clown suisse, qui parvenait à nous faire croire qu'il n'était bon à rien, en excellant devant un piano, avec un violon ou tout autre instrument classique.Je ne sais pas ce que Keziah fait à l'école, mais une chose est sûre, elle a déjà une avance considérable sur tous ses copains et copines, quant aux valeurs de vie fondamentales que sont le travail collectif, la solidarité, l'anticipation et le souffle dans l'endurance. La fillette en caoutchouc est d'ores et déjà une dure, je vous prie de le croire... ... See MoreSee Less
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3 weeks ago

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C’est demain, Il reste quelques places disponibles ! Let’s gooooowww.helloasso.com/associations/street-art/evenements/workshop-for-kids ... See MoreSee Less
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